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10 février 2008 7 10 /02 /février /2008 21:00
Jaws.jpgJAWS
The Collector’s Edition Soundrack
Musique composée et dirigée par John Williams
Un Film de Steven Spielberg
Inclus 12 titres non parus antérieurement
Main Title and First Victim/The Empty Raft/The Pier Incident/
The Shark Cage Fugue/Shark Attack/Ben Gardner’s Boat/Montage/
Father And Son/Into The Estuary/Out Of Sea/Man Against Beast/
Quint’s Tale/Brody Panics/Barrel Off Starboard/The Great Shark Chase/
Three Barrels Under/Between Attacks/The Shark Approaches/
Blown To Bits/End Titles
 
La terreur est sur mon blog ! L’horrible requin est de retour ! Pour ce second article dans cette catégorie, je n’ai pas hésité un seul instant : ce serait la bande originale du film « JAWS » par JOHN WILLIAMS qui incarne, pour moi, LE plus grand compositeur de musiques de films. J’avais 13 ans ( !) quand ce long métrage sortit aux Etats-Unis le 20 juin 1975 et fin de la même année chez nous.
 JAWS2.jpgL’affiche originale du film
Ce film était annoncé comme l’évènement cinématographique de l’année, non seulement pour les effets spéciaux extraordinaires, pour l’époque, qu’il contenait (l’audacieuse machinerie sous-marine qui animait le robot servant de requin) mais aussi pour un synopsis inédit jusqu’alors,  habilement mis en scène par un très jeune talentueux réalisateur âgé de 29 ans : Steven Spielberg. Je vais m’attacher (et vous, attachez-vous à votre siège, c’est parti !) à vous relater certaines scènes marquantes en relation avec l’extraordinaire musique de John Williams pour laquelle il reçut, excusez du peu, son second Oscar sur les cinq qu’il obtint tout au long de sa prodigieuse carrière. Tout d’abord, en ce qui concerne le générique ou, si vous préférez, le thème, une particularité se dégage distinctement de la partition : deux notes atonales (écriture musicale se libérant des règles tonales de l’harmonie traditionnelle) en crescendo s’identifieront à la menace qui rôde le long des plages de la station balnéaire d’Amity ainsi qu’à l’affrontement entre le prédateur et 3 hommes très différents mais qui se réuniront dans un seul but : anéantir le mangeur d’hommes… Ces deux notes vont devenir le fil conducteur de la musique à chaque moment où le requin apparaîtra… ou à chaque moment où l’on devinera sa présence !

Jaws : Main Title
 
Pour composer cette musique de film, Williams s’est concentré sur la progression du squale qui, continuellement, s’annoncera par ces deux fameuses notes atonales principalement jouées par une section de cordes (contrebasses) auxquelles s’ajouteront des violons, une imposante escadrille de cuivres divers, de percussions (principalement des timbales) et… un piano qui signaleront et accentueront même, selon les scènes, les attaques du requin. Au moment où cette musique devenue culte retentit, le suspense est à son paroxysme surtout lorsque Steven Spielberg emploie habilement la technique qui consiste à substituer le requin… au regard des spectateurs ! En utilisant cette base musicale, Williams va développer toute une série de variations, composant plusieurs thèmes dérivés qui symboliseront la narration musicale liée à l’animal. Il va s’en servir judicieusement et il faut bien avouer que le scénario est conçu de telle façon que le compositeur aura tout le loisir de les utiliser et de les mettre en valeur. Heureusement, John Williams a prévu des morceaux plus détendus, plus « ouverts », beaucoup moins sombres aussi : « Montage » et « Father And Son ». Le premier est le thème des touristes qui débarquent à Amity et le second est la consolation du « Chef » Brody (incarné par Roy Scheider) dans le regard de son fils après qu’il eut encaissé l’affront d’une mère qui vient de perdre son fils victime du terrible requin…
 roy_scheider_1.jpgRoy Scheider (« Chef » Brody)
Ces titres constituent une petite relâche avant ceux qui nous font replonger (c’est le cas de l’écrire !) dans les affres du cauchemar ! Un contraste s’établira entre le thème principal, appelons-le celui du requin, et celui, plus enjoué, rappelant le passage où les touristes arrivent, surtout dans la scène où les barils seront lâchés, destinés à freiner la course dévastatrice du squale. Cette envolée musicale, plus enjouée soulignera l’héroïsme des 3 aventuriers dans leur quête de destruction de l’animal. Steven Spielberg sera très agréablement surpris du travail d’écriture effectuée par John Williams. Quand ce dernier lui présenta la partition et lui expliqua comment il allait amener musicalement le requin à l’écran, le réalisateur crut à une pure plaisanterie. Mais le compositeur était si sérieux et tellement convaincant que Spielberg lui laissa une entière liberté sur la direction d’orchestre qu’il allait apporter sur le déroulement du film. Il n’eut pas à le regretter quand il découvrit le résultat final : c’est tout simplement un chef-d’œuvre à la hauteur de l’Oscar qu’il reçut par la suite.
 John-Williams2.jpgJohn Williams et Steven Spielberg
Depuis, cette musique de film est devenue la seconde nature du requin qui le caractérise incontestablement dès qu’on l’entend… Pour conclure, apportons une mention spéciale à deux morceaux très intenses du CD qui sont situés dans la dernière partie de la bande originale : « The Shark Approaches » et « Blown To Bits », le premier est tout à fait inédit et ne figure pas dans le 33 tours de l’époque tandis que le deuxième décrit, dans une ambiance insoutenable, l’attaque du requin à laquelle succombe horriblement Quint (incarné par Robert Shaw).
Robert-Shaw.jpg Robert Shaw (Quint)
Afin de compléter la brillante distribution de ce film, saluons, pour finir, la parfaite interprétation de Richard Dreyfuss dans le rôle de l’océanographe Hooper.
jaws1.jpgRichard Dreyfuss (Hooper)
 
Jaws : One Barrel Chase
 
John-Williams1.jpg 
JOHN WILLIAMS
 
John Williams vient de fêter son 75ème anniversaire le 8 février. Il est né à New-York et a été très vite pris par le démon de la musique. Son père était percussionniste dans l’ensemble orchestral de CBS Radio et jouait dans le « Raymond Scott Quintet ».rayscott.jpg 
Le « Raymond Scott Quintet » avec Johnny Williams, le père de John, à la caisse claire.
Influencé principalement par le jazz et la musique classique, il monte son propre groupe à l’âge de 15 ans et s’initie au travail d’arrangeur. Il sait depuis longtemps qu’un avenir de musicien l’attend et il ne tarde pas à composer une première œuvre symphonique : une sonate pour piano ! Ses études le conduiront à approfondir le domaine de l’orchestration et il fourbira son potentiel auprès de Robert Van Eps de la MGM (le célèbre compositeur de la musique de la série « Au-delà du réel » en 1963)  et de Mario Castelnuovo-Tedesco (formidable compositeur italien des musiques de films, entre autres, de « Docteur Jekyll et Mister Hyde » en 1941 et du « Portrait de Dorian Gray » en 1945). Il profitera de son passage au sein de l’US Air Force pour parfaire son sens de la direction musicale.
 250px-Mario_Castelnuovo-Tedesco.jpgMario Castelnuovo-Tedesco
Ensuite, il poursuivra son apprentissage du piano avec Rosina Lhevinne à la Juilliard School. Par les personnalités qu’il a côtoyées durant sa jeunesse, on sait maintenant pourquoi John Williams s’est attaché au renouveau symphonique de la musique de film. Pour preuve, écoutez les compositions de la saga de « La Guerre des Etoiles », de « Superman » et de la trilogie des « Indiana Jones ». Mais nous n’en sommes pas encore là et revenons aux débuts de John Williams qui, dès 1958, commencera à Hollywood comme pianiste de studio pour des musiques de séries TV. John continue son irrésistible ascension et fait partie, à 24 ans, de l’équipe d’arrangeurs de la Columbia pour intégrer ensuite celle de la 20th Century Fox où il travaille aux côtés de grands compositeurs de l’âge d’or du cinéma : Alfred Newman, Lionel Newman, Dimitri Tiomkin et Franz Waxman. Il fait également la connaissance de l’actrice et chanteuse Barbara Ruick qui aura le privilège de devenir Madame Williams. Son époux rêve toujours de s’imposer et ses efforts vont être récompensés. En 1957, il compose la musique de « La Grande Caravane », c’est lui aussi qui signe la partition du générique du « Virginien » en 1962. Au cinéma, par contre, il doit attendre 1966 pour se faire remarquer. C’est William Wyler, le réalisateur de « Ben Hur », qui lui donnera le coup de pouce nécessaire dans une comédie, « Comment voler un million de dollars », afin qu’il démarre véritablement sa carrière.
 William Wyler
Cependant, John Williams n’abandonne pas la télévision : il s’occupera de la musique de « Heidi » en 1968 et de celle de « Jane Eyre » en 1970 pour lesquelles il recevra deux « Emmy Awards ». Cantonné dans la musique de comédies, il va s’essayer au western avec réussite pour « Les Cow-boys », avec John Wayne, en 1972 après avoir remporté son premier « Oscar » en 1971 avec « Fiddler In The Roof ». Mais c’est dans la catégorie dite de films « catastrophe » qu’il se sentira le plus à l’aise. Les sollicitations vont se succéder à un rythme d’enfer, jugez-en plutôt : « L’aventure du Poséidon » en 1972, « Tremblement de Terre » et « La Tour Infernale » en 1974 avant la consécration pour « Jaws » en 1975 pour lequel il gagne un second « Oscar ». Entre-temps, en 1974, John Williams subit la pire épreuve de sa vie : il perd sa fidèle compagne, Barbara Ruick, qui avait à peine 41 ans… Le travail et l’amitié indestructible qui va naître entre lui et Steven Spielberg vont l’aider à cicatriser cette douloureuse blessure. En effet, « Les Dents de la Mer » est leur deuxième collaboration après « The Sugarland Express » en 1973. Ils vont devenir un tandem indissociable. Toutefois, en 1976, John revient au western avec « Missouri Breaks » d’Arthur Penn (avec Marlon Brando et Jack Nicholson). Il étendra ses compétences aux films de guerre puisqu’il signera, entre autres, en 1977 « La Bataille de Midway » (avec Charlton Heston et Henry Fonda) pour faire à nouveau une incursion dans le genre « catastrophe » avec « Dimanche Noir » de John Frankenheimer, toujours en 1977. Désormais, tous les réalisateurs veulent se l’approprier. Un certain Georges Lucas (très proche de Steven Spielberg et de Francis Ford Coppola) l’engage pour « Star Wars ». A ce moment, John Williams ne sait pas encore que son destin sera lié à tout jamais à ce film ! Le succès est immédiat et Hollywood le consacre une nouvelle fois en lui décernant un troisième « Oscar » ! Dans le premier opus de « Star Wars », accordons deux mentions spéciales au guilleret morceau de jazz joué dans la taverne par de désopilantes créatures (« Cantina Band ») et à la fantastique mini-symphonie tonitruante intitulée « The Last Battle » ! De plus en plus prolifique, le célèbre musicien se charge, la même année, de la partition des « Rencontres du Troisième Type » avec, dans le thème principal, un fameux et légendaire enchaînement entêtant de cinq notes de musique différentes… En 1978, il compose la musique de « Furie » de Brian de Palma et accepte de « diriger » une seconde fois le requin dans « Jaws 2 » de Jeannot Swarc qui réalise, au demeurant, une pâle copie en comparaison du travail d’orfèvre de Spielberg. John Williams aura également plus d’inspiration pour « Superman » de Richard Donner pour lequel il compose l’une de ses plus belles musiques de films. 

Superman : Main Title
 
Ensuite, il décroche son prochain contrat pour le « Dracula » de John Badham (avec Frank Langella dans le rôle de l’éternel vampire) en 1979. Puis, son copain Spielberg lui fait à nouveau les yeux doux pour « 1941 », film loquace qui ne rencontrera pas le succès escompté; ce sera, toutefois, l’occasion pour Williams de faire un bref retour à la musique de comédie. Au début de l’année 1980, John Williams est nommé à la direction du prestigieux « Boston Pops Orchestra » à la tête duquel il restera pendant 13 ans. Cette année salue aussi le deuxième épisode de « La Guerre des Etoiles : l’Empire Contre-attaque ». C’est pendant celui-ci que l’on découvre la fameuse « marche » de l’énigmatique Darth Vador !

Star Wars : The Darth Vador’s March
 
A partir de 1981, c’est une nouvelle et excitante aventure qui attend l’artiste new-yorkais. Avec grand plaisir, il retrouve Spielberg qui planche sur « Les Aventuriers de l’Arche Perdue » sur un scénario de Georges Lucas. John Williams est convié à accompagner musicalement les progressions d’un professeur d’archéologie en quête de trésors : Indiana Jones ! Pour ce projet, le directeur d’orchestre concocte avec brio une composition riche en thèmes mystérieux et romantiques. Les scènes d’action sont particulièrement alimentées d’envolées somptueuses. L’année suivante, c’est le raz-de-marée « E.T. l’extra-terrestre » et, une nouvelle fois, Williams déploie tout son talent de créateur : il ressort de sa composition beaucoup de sensibilité et la partition est à la hauteur du film : grandiose ! Les scènes tendres d’amitié entre l’enfant et l’étrange personnage venu d’ailleurs sont parfaitement accompagnées. C’est un succès sans précédent qui octroie à Williams un quatrième Oscar amplement mérité ! En 1983, John Williams parachève le premier cycle des trois épisodes de « Star Wars » avec « Le Retour du Jedi » qui contient un développement des thèmes déjà utilisés dans les deux précédents. Le travail est bien soigné mais il n’apporte rien de nouveau. 1984 voit le retour du célèbre duo pour la suite des aventures d’Indiana Jones et « Le Temple Maudit ». C’est le passage du sacrifice qui marquera les spécialistes : le thème sombre illustré de chœurs ténébreux est tout bonnement fantastique ! Par la suite, le compositeur connaîtra une petite accalmie avant de se ressourcer dans la comédie avec « Les Sorcières d’Eastwick » de Georges Miller en 1987 avec le génial Jack Nicholson dans le rôle du démon. La même année, il travaille encore et toujours avec son inséparable ami Spielberg sur « L’Empire du Soleil » dans lequel il signe un morceau de fanfare chorale de toute beauté ! Deux ans plus tard, c’est « Indiana Jones et la Dernière Croisade » qui réunit les deux compères. Les critiques accueillent cette composition comme étant la meilleure de la trilogie. Ensuite, c’est « Né un 4 Juillet », toujours en 1989, qui permet à Williams de travailler avec un autre très grand réalisateur : Oliver Stone. En 1990, c’est « Home Alone » (« Maman, j’ai raté l’avion ») qui attire le musicien dans une catégorie de films qu’il n’arrive pas à oublier : la comédie. Rappelons que c’est dans ce genre que le compositeur a commencé à exceller. L’année suivante salue une nouvelle collaboration entre Williams et Spielberg sur « Hook » avec l’irrésistible Robin Williams et le terrifiant « Capitaine Crochet » incarné brillamment par Dustin Hoffman. La même année, Williams signe une excellente composition pour le « J.F.K. » d’Oliver Stone (avec Kevin Costner). Notons pour ce film un fabuleux thème illustré uniquement de caisses claires.

J.F.K.
 
En 1992, John Williams se charge du second « Home Alone » avant de réitérer, un an plus tard, deux magistrales performances sur « Jurassic Park » et « La Liste de Schindler » dont le thème principal joué par le violoniste Itzhak Perlman est remarquable.

La Liste de Schindler : Itzhak Perlman

Un cinquième et dernier « Oscar » à ce jour viendra s’ajouter aux autres récompenses constituant ainsi un palmarès inégalable ! « Nixon » est l’occasion des retrouvailles entre Stone et Williams en 1995 mais la composition passera quasi inaperçue devant l’éblouissante prestation de Sir Anthony Hopkins. L’année se termine avec une composition sur « Sabrina » de Sydney Pollack. L’année suivante, Williams participe à « Sleepers » de Berry Levinson avant de travailler en 1997 pour Jean-Jacques Annaud sur « Sept ans au Tibet ». John Williams retrouve Steven Spielberg sur le réussi « Jurassic Park 2 : Le Monde Perdu » pour enchaîner, en 1998, sur « Il faut sauver le soldat Ryan ». Un an plus tard, il signe « Les Cendres d’Angela » d’Alan Parker préalable à une nouvelle trilogie de « Star Wars » avec l’Episode 1 « La Menace Fantôme » dans lequel le thème le plus marquant est sans aucun doute celui du « Duel of the Fates ». A l’aube du nouveau millénaire, il compose, pour Roland Emmerich, la musique de « The Patriot » qui, toutefois, s’avérera comme l’une des moins convaincantes. 2001 honore une nouvelle association Williams-Spielberg pour « A.I. Artificial Intelligence » avec une partition subtile et profonde sur l’amour et les sentiments d’un enfant-robot. Au cours de cette même année, John Williams donne son aval sur une nouvelle saga autour d’un héros qui ne finira pas de captiver de nombreux et fervents lecteurs : Harry Potter !

Suite from Harry Potter
 
Il se chargera des trois premiers films de l’apprenti sorcier : « Harry Potter à l’école des sorciers », « Harry Potter et la Chambre des Secrets » en 2002 et « Harry Potter et Le Prisonnier d’Azkaban » en 2004. Entre-temps, il compose encore pour Spielberg sur « Minority Report » (avec Tom Cruise) et sur « Arrêtes-moi si tu peux » en 2002 et « Le Terminal » en 2004 (avec, dans ces deux derniers longs métrages, Tom Hanks). Parallèlement à toutes ces partitions, Williams continue à distiller des musiques pour l’Episode 2 de « Star Wars : L’Attaque des Clones » en 2002 pour clore, enfin, avec le troisième chapitre « La Revanche des Sith » en 2005. En juin de la même année, il enregistre le score de « La Guerre des Mondes » toujours pour Spielberg. Le musicien signe là une partition aux sonorités sombres et abruptes. Ensuite, Williams compose une musique aux accents orientaux sur « Mémoires d’une Geisha » pour le réalisateur de « Chicago » Rob Marshall. En 2006, Williams s’occupe de diriger « Munich » pour Spielberg et accomplit à cette occasion un nouveau chef-d’œuvre fascinant rehaussé de motifs prouvant encore une fois un immense talent créatif. Des projets de nouvelles musiques de films sont attendus cette année avec la prochaine sortie du quatrième épisode d’ « Indiana Jones et le Royaume du Crâne de Cristal » et John devrait prendre la direction d’orchestre pour le dernier « Harry Potter et Les Reliques de la Mort » avant de travailler sur le film retraçant la vie de Lincoln en 2009 avec Liam Neeson toujours sous la direction de Spielberg. Par contre, rien n’est encore annoncé pour le premier long métrage sur « Tintin ».  Pour terminer cette évocation de près de 50 ans de carrière du plus grand compositeur de musiques de films de tous les temps, je dirai qu’avec Ennio Morricone, Jerry Goldsmith et John Barry, il a largement contribué à populariser le style symphonique dans le cinéma.

Indiana Jones : Main Title
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commentaires

H
L'édition Decca ne rend pas superbement hommage au travail de Williams. Par rapport à l'édition original sortie chez MCA, ça manque de relief et c'est un brin lourdingue. En revanche, jetez une oreille sur la version réenregistrée par Joel McNeely (Varese Sarabande) : un chef d'oeuvre renaît et la musique dévoile toute son ampleur. C'est l'une des deux seules versions de cette musique que je retiendrai, l'autre étant celle DANS le film
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F
Tout est CULTE dans ce sujet !<br /> A étudier par coeur et à ressortir lors de soirées entr'amis : succès assuré !<br /> <br /> Normal... c'est Bernie qui nous l'a concocté !
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